mercredi 6 juillet 2005

Imagery and the third eye

C'est toujours amusant de voir les critiques révéler leur frustration en laissant libre cours à leur jalousie. Il n'y a d'ailleurs que les critiques qui ne reconnaissent pas Stephen King comme un excellent écrivain et j'ai d'ailleurs une anecote à ce sujet. Son éditeur le trouvant trop prompt à livrer de nouveaux titres King s'amusa à proposer (et vendre) son surplus de production sous le pseudo de Richard Bachman. Bonne opération marketing ou pas (depuis les 'batards' ont été légitimés pour profiter pleinement de la marque paternelle) cette passe à permis de débusquer un crétin qui à propos d'un opus signé R. Bachman disait dans sa feuille choux "c'est ce que pourrait écrire Stephen King s'il savait écrire."
Justement c'est l'heure de la leçon Coco :
Too many beginning writers feel that they have to assume the entire burden of imagery; to become the reader's seeing-eye dog. That is simply not the case. Use vivid verbs. Avoid the passive voice. Avoid the cliché. Be specific. Be precise. Be elegant. Omit needless words. Most of these rules -- and the four hundred I haven't quoted -- will take care of themselves almost automatically if you will, from this point on, take two pledges: First, not to insult your reader's interior vision; and second, to see everything before you write it.
"IMAGERY AND THE THIRD EYE" © 1980 by Stephen King

Aucun commentaire: