Aujourd'hui il se trouve des fans de Star Wars pour faire bien avec trois francs/six sous ce que George Lucas fait mal avec ses moyens intersidéraux. Pourquoi ? On peut imaginer que Lucas en bon mégalo patauge à côté de son concept. La créativité, ce n'est pas nouveau, est stimulée par les obstacles sur son chemin : le jour où le créateur arrête de se battre il perd ses moyens et sa raison d'être.
The Skywalker Ranch is the limit.
En tout cas les fans (actifs) ont gardé la force avec eux, ils font ça pour le plaisir et semblent avoir retrouvé l'esprit originel :
1 commentaire:
Intéressant article du NYT pour les fans de SF qui ont grandi depuis SW :
"It's just such a huge shame," he said. "Anyone who is a practitioner of science fiction is constantly dogged by the ghettoization of the genre. And a lot of that comes from the very simplistic, 2-D Lucasesque view of what science fiction has to offer."
If truth be told, sci-fi writers say, their work and "Star Wars" never had much in common.
Like science itself, science fiction has evolved since the days of H. G. Wells and Jules Verne in the late 19th and early 20th centuries. Since the end of World War II, the genre has shifted its focus from space and time travel to more complex speculations on how the future, whatever its shape, will affect the individual.
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