jeudi 3 février 2005

La loi du marché

J'écrivais lundi que "le business s'accommode des réalités surtout quand il y trouve son compte" et c'est pour ça qu'il faut comprendre le téléchargement (gratuit) non comme le produit d'une innovation majeure mais comme une déviance, une véritable invention du diable.

Alors les majors se présentent comme de pauvres associations philantropiques en voie de disparition qu'il faut protéger, avec un arsenal juridique, contre leurs clients potentiels. Ou plus précisément leurs clients des années à venir.

C'est en substance ce qu'explique l'universitaire Fabrice Rochelandelet dans le Libé du jour.
(copie de l'article, parmi d'autres sur le sujet, du côté de ce forum)

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