"Pensez d'abord à ce que vous pouvez apporter à Internet, pas à ce qu'Internet peut vous apporter une fois que vous êtes déjà perclus de certitudes inébranlables."
Il s'agit d'une paraphrase de mon cru de ce célèbre passage du discours d'investiture de JFK, repris par Obama pour la sienne : "And so my fellow Americans, ask not what your country can do for you - ask what you can do for your country". Comme les financiers qui ont fait n'importe quoi ces dernières années, les vieux parasites de la Culture restent droits dans les bottes de leur conservatisme, tout en venant pleureur pour se faire assister par l'État...
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