Known as one of the most independently minded directors, Boorman once said: "filmmaking is the process of turning money into light, and then trying to turn it back into money again," an epigram that has defined the trajectory of his vastly uneven career. It’s hard to think of another major director who has had so many ups and downs. David Thompson has poignantly observed that Boorman is “as commercially unreliable as he is artistically unpredictable.”
Beaucoup de critiques signalent Point Blank (Le Point de non-retour, 1967) comme son chef d'oeuvre, comme une date marquant le renouveau du film noir et blablabla. Alors peut-être que tout ce beau monde a été impressionné par le côté onirique qui contraste avec la force brute dégagée par Lee Marvin, mais moi ce que j'ai vu c'est un film très daté sixties qui se prend un peu trop au sérieux dans son atmosphère vaporeuse. Deliverance (1972) et même Zardoz (1974 - on ne rigole pas sur le look de Sean Connery svp) m'ont laissé un bien meilleur souvenir.
The excellent physical realization of “Deliverance” is marred by stereotypical characters and blatant message. The visual account of journey four city guys take down the river, and the irrational hostility of the hill people are stunning. But the film’s central idea, juxtaposing the Bit city with the wilderness, was so familiar to make it seem shallow too.
Ouais... Moi ma conclusion c'est que les critiques voient vraiment trop de films pour pouvoir les apprécier en simples spectateurs : quatre par jour pendant la quinzaine de Cannes, est-ce bien raisonnable quand on a la prétention de porter un regard neuf sur le cinéma ?
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